"Beyond the Blur" Zipped Hoodie
Size chart / Guide des tailles
Size | Body Length | Body Width | Sleeve Length |
X-Small | 68.5 cm / 27 inch | 48cm / 19 inch | 85 cm / 33 1/2 inch |
Small | 71 cm / 28 inch | 51 cm / 20 inch | 88 cm / 34 1/2 inch |
Medium | 73.5 cm / 29 inch | 56 cm / 22 inch | 90 cm / 35 1/2 inch
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Large | 76 cm / 30 inch | 61 cm / 24 inch | 93 cm / 36 1/2 inch |
X-Large | 79 cm / 31 inch | 66 cm / 26 inch | 95 cm / 37 1/2 inch |
XX-Large | 81 cm / 32 inch | 68.5 cm / 27 inch | 98 cm / 38 1/2 inch |
XXX-Large | 84 cm / 33 inch | 71 cm / 28 inch | 100 cm / 39 1/2 inch |
Voir plus bas pour la description en français
Printed and crafted at The Fabrik, Alex Henry Foster’s creative atelier.
80% Cotton / 20% Polyester fleece
Includes:
- "Between the Tides" Zipped Hoodie
Created for the collection “A Measure of Shape and Sounds”:
Following Kimiyo, what would eventually become the second chapter of Voyage à la Mer, A Measure of Shape and Sounds, is an intimate journey of its own, representing a profound personal breathe-in made of several layers of guitar loops, reverberations, resonances, and oscillations juxtaposed together to create a sonic multi-directional contemplative maelstrom. Purposely recorded live to capture as direct a flow as possible, the songs embodied at that exact moment carried their human disposition not only to abandon oneself to the motion but to become one with it. Foster mentioned: “It felt like the representation of an organic movement that could ultimately break us free from the echo chamber we might have been trapped in and therefore end the emotional twirl and affective cycle of redundancy that too often comes with our emptiness and desperation.”
He adds: “Even though I had the conviction that we had guided Kimiyo as far as we had to without spoiling its natural beam of light by suddenly adding the shadows of our ambitions to it all, Ben and I felt there was more to explore, as so many additional fragments of musical landscapes instinctively surfaced while we kept dwelling on the vivid sensations we were both still being impacted with at that precise instant.”
Instrumental by choice and minimalist by design, it was capital for Foster that A Measure of Shape and Sounds stood as its own living organism, not as a faire-valoir or add-on to the growing entity that Voyage à la Mer was becoming. If Momoka incarnated Kimiyo’s voice, Foster was adamant about the fact that “no introspection is really yours until you voice it yourself.” In that sense, the album would provide an ongoing soundtrack to that internal self-searching reflection inviting us to lift ourselves forward, to tame the other bonding voices to which we usually surrender our longing desires for freedom.
This is what Foster encountered throughout the process: “If those pieces of new music were already leading the way, I knew there was more to experience. To discover what it might be, I would have to entirely let go of all the looming concerns I was starting to ponder regarding the circumstantial parameters associated with what was starting to look much more like an extensive endeavor than I was able to circumvent at that moment. Since genuineness and coherence are always the ultimate sieves through which I pass every single one of my projects before releasing them, I had to trust my instinct and discover what had begun to blossom deep down underneath my limitative worries, remembering that coherence is about honesty, not about structure. Contrary to so many precedent art forms I worked on, what I saw burgeoning out of our writing sessions didn’t have to be analyzed to determine if they were “it” when they surfaced; they were. You can’t fabricate honesty.”
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Imprimé et créé à la Fabrik, l’atelier de création d’Alex Henry Foster.
80% coton pré-blanchi / 20% polaire en mélange de polyester
Inclut :
- Coton ouaté zippé
Créé pour la collection de “A Measure of Shape and Sounds” :
Ce qui deviendrait éventuellement le deuxième chapitre de Voyage à la Mer, A Measure of Shape and Sounds, est un voyage intime propre à lui, représentant un profond souffle composé de nombreuses strates de guitares en boucle, de réverbérations, de résonances et d'oscillations juxtaposées ensemble afin de créer un tourbillon sonore multi-directionnel contemplatif. Intentionnellement enregistré en direct afin de capter son flot le plus possible, les chansons incarnées à ce moment exact transportèrent leur disposition humaine, non seulement pour s’abandonner au mouvement, mais pour ne faire qu’un avec lui. Foster a mentionné que « Ça donnait l’impression d’être la représentation d’un mouvement organique qui pourrait en résultante nous rendre libre de l’éco chambre dans laquelle nous aurions pu être prisonnier et ainsi mettre fin à la spirale émotionnelle et le cycle affectif de redondance qui vient trop souvent accompagné de notre vide et notre désespoir…»
Il renchérit : « Bien que j'aie la conviction que nous avions guidé Kimiyo aussi loin que nécessaire sans gâcher son faisceau de lumière naturel en ajoutant soudainement les ombres de notre ambition à tout cela, Ben et moi sentions qu'il y avait plus à explorer et tant de fragments supplémentaires de paysages musicaux ont instinctivement fait surface alors que nous continuions à nous attarder aux sensations vives qui nous impactaient encore tous les deux à cet instant précis. »
Instrumental par choix et minimaliste dans sa conception, c’était capital pour Foster que A Measure of Shape and Sounds, se démarque comme étant son propre organisme vivant, pas comme un faire-valoir ou un ajout à l’entité croissante que devenait Voyage à la Mer. Si Momoka incarnait la voix de Kimiyo, Foster était catégorique sur le fait qu'« aucune introspection n'est vraiment vôtre tant que vous ne l'exprimez pas vous-même. » En ce sens, l’album procurerait une bande son en continue à cette réflexion d'introspection intérieure qui nous invite à nous élever vers l'avant, à dompter les autres voix de captivité auxquelles nous abandonnons habituellement nos désirs ardents de liberté.
Voici ce que Foster a vécu tout au long du processus : « Si ces pièces de nouvelle musique ouvraient déjà la voie, je savais qu’il y avait plus à l’expérience. Pour découvrir ce dont il s’agissait, je devrais complètement abandonner toutes les préoccupations imminentes auxquelles je commençais à réfléchir concernant les paramètres circonstanciels associés à ce qui commençait à ressembler beaucoup plus à un effort de grande envergure que ce que je ne pouvais l’ignorer à ce stade-là. Puisque l’authenticité et la cohérence sont toujours les tamis à travers lesquels je passe chacun de mes projets avant de les lancer, je devrais faire confiance à mon instinct et découvrir ce qui s’était mis à fleurir en profondeur sous mes inquiétudes limitatives, me rappelant que la cohérence a tout à voir avec l’honnêteté et non pas la structure. Contrairement à de nombreuses formes d’art sur lesquelles j’ai travaillé par le passé, ce que j’ai vu bourgeonner de nos sessions d’écriture n’avait pas à être analysé pour déterminer si elles étaient « ça » lorsqu’elles ont fait surface ; elles étaient. L’honnêteté ne peut être fabriquée. »