“Embracing Lights” Heavy Fleece Pea Coat

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Printed and crafted at The Fabrik, Alex Henry Foster’s own creative atelier.

Features:
- Embroidery and prints on front, back, and sleeve.
- 90% cotton / 10% polyester
- Double-breasted button closure
- Removable hood
- Shoulder epaulettes
- Front and back princess seams
- Button strap on lower back
- Front welt pockets 

Includes:
- heavy fleece pea coat


Created for the collection “The Love That Moves”.

“The Love That Moves” has more to do with an intimate prayer than a well-designed mantra projecting what I would like to convince myself or others of. It’s my way of confessing what that journey has been, but even more to present who I became going through it all…

Is grieving the ability to conquer darkness and make it shine? Is mourning the acceptance of the end that allows us to begin all over again? Is emotional emancipation no longer being afraid of losing what we never truly had in the first place? Maybe it is. Maybe it ain’t. But one thing for sure is that love moves, forgives, and heals… Way beyond any pale morning light or any dazzling make-believes.

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Imprimé et créé à la Fabrik, l’atelier de création d’Alex Henry Foster.

Caractéristiques :
- Broderie et impression en sérigraphie sur le devant, le dos et la manche.
- 90% coton / 10% polyester
- Fermeture à double boutonnage
- Capuche amovible
- Épaulettes aux épaules
- Coutures princesse devant et dos
- Sangle boutonnée en bas du dos
- Poches en avant

Inclut :
- Caban épais en polaire


Créé pour la collection “The Love That Moves”.

“The Love That Moves” a plus à voir avec une prière intime qu'un mantra bien conçu projetant ce dont j'aimerais me convaincre ou convaincre les autres. C’est ma façon d’avouer ce qu’a été ce voyage, mais encore plus de présenter qui je suis devenu au cours de tout cela…

Le deuil est-il la capacité de vaincre les ténèbres et de les faire briller ? Le deuil est-il l’acceptation de la fin qui nous permet de tout recommencer ? L’émancipation émotionnelle n’a-t-elle plus peur de perdre ce que nous n’avons jamais vraiment eu en premier lieu ? Peut-être. Peut-être que non. Mais une chose est sûre, c’est que l’amour bouge, pardonne et guérit… Bien au-delà de toute lumière pâle du matin ou de toute fausse impression.